VERS UN LABEL “GRAND SITE DE FRANCE “


Le Progrès Édition de la Haute-Loire Lundi 19 juin 2023

 

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L’Éveil de la Haute-Loire Samedi 17 juin 2023

Un premier acte de “mariage” entre la Haute-Loire et l’Ardèche dans l’espoir d’obtenir le label Grand site Gerbier-Mézenc

Deux départements s’unissent dans un esprit de « massif » pour qu’un jour prochain les montagnes se rencontrent.

Les présidents des départements d’Ardèche et Haute-Loire ont signé un premier acte de « mariage », dans l’espoir d’obtenir le label Grand site Gerbier-Mézenc.

À 1.500 mètres d’altitude, le col de la Croix de Boutières offre une vue à imprenable sur l’Ardèche et à quelques centaines de mètres seulement de la Haute-Loire.
Le col n’est pas une frontière, mais le passage obligé entre deux départements qui sont faits pour s’entendre, quand il s’agit de mettre en avant des « valeurs » communes, de parler d’une même voix pour décrocher un jour la précieuse labellisation « Grand site Gerbier-Mézenc ».

Agriculture, tourisme, santé…

Alors que les jalons de ce beau projet ont été posés en 2019, les présidents des deux collectivités, Marie-Agnès Petit, pour la Haute-Loire, et Olivier Amrane, son homologue ardéchois, ont réaffirmé leur volonté de travailler ensemble en signant, au col des Boutières précisément, une convention de partenariat dans l’attente de se retrouver, à la rentrée de septembre où un comité de pilotage sera constitué. Tous les acteurs du projet de Grand site seront à cette occasion réunis : État, Région, collectivités…. Marie-Agnès Petit et Olivier Amrane ont signé une convention.

Philippe Delabre, vice-président du conseil départemental de Haute-Loire, ainsi que, pour l’Ardèche, les vice-présidents Sandrine Genest et Matthieu Salel, assistaient à cette signature.
Les deux collectivités souhaitent s’engager dans une démarche commune sur plusieurs sujets phares. Si l’on devrait résumer d’un mot le fil conducteur des actions qui seront menées pour valoriser l’entité Gerbier-Mézenc, c’est celui de « ruralité ».
« Pas question de brader les traditions », insiste Olivier Amrane et encore moins l’agriculture, car un danger menace l’activité : la baisse de la ressource en eau. « Il faut que l’on stocke davantage d’eau », assure le président du conseil départemental d’Ardèche, appelant de ses vœux en ce domaine à avoir « une vision macro du territoire pour réfléchir à des zones de stockage ». L’AOP Fin gras du Mézenc, présente sur les deux départements, est sans doute l’exemple qui montre ce que le monde agricole est capable de produire.« L’ADN » repose et reposera avec le Grand site sur les activités de pleine nature.

Photo Philippe Suc

Côté tourisme, le massif ne doit pas servir une activité de masse comme on peut le voir dans le sud Ardèche. Déjà « par respect de l’homme qui a construit le patrimoine et qui nous demande de voir comment le transmettre demain », remarque Marie-Agnès Petit souhaitant un « tourisme durable » pour atteindre l’équilibre, social et environnemental. Et de citer des projets allant dans ce sens, comme le village de vacances des Estables ou le restaurant-épicerie qui devrait ouvrir à Borée durant l’été. Également la voie verte longeant la Loire pour rejoindre Le Puy puis la source du fleuve. « L’ADN » repose et reposera avec le Grand site sur les activités de pleine nature. L’avenir passe par « un tourisme des quatre saisons ».
L’un des enjeux, c’est aussi la santé. Marie-Agnès Petit loue un outil initié par la Région, le GIP santé (groupement d’intérêt public) qu’a intégré l’Ardèche en tant que département pilote. L’idée étant de salarier des praticiens sur deux ans renouvelables. La Haute-Loire veut lui emboîter le pas.
« Il faut montrer que notre territoire est attractif », affirme de son côté Sandrine Genest dont le département tablait sur neuf installations en 2022. Il en a eu 23. Le président de la collectivité ardéchoise parle de 52 installations sur deux ans. Sandrine Genest co-pilote une cellule santé avec un médecin du Cheylard. Des rencontres ont lieu avec des étudiants lyonnais et désormais clermontois.
Olivier Amarane résume : « Les marques Ardèche et Haute-Loire fonctionnent très bien, reste à lier les deux entités pour travailler main dans la main ».

 

Philippe Suc


L’espace naturel Gerbier-Mézenc candidate au label Grand site de France

L’espace naturel Gerbier-Mézenc candidate au label Grand site de France 

Un premier stade en vue de l’obtention du label Grand site de France pour le Mézenc.

© eveil
L’espace naturel Gerbier-Mézenc est désormais placé sur la bonne voie du réseau des Grands sites de France. En effet, lors de la dernière assemblée générale qui se tenait à Rochefort en Charente-Maritime, les paysages entre le mont Gerbier de Jonc et le mont Mézenc ont été retenus comme membres associés du réseau. Mais le chemin vers l’obtention du label est encore long.

C’est le premier stade mais ce n’est pas rien : le réseau des grands sites de France a retenu, le 14 octobre dernier, la candidature de l’espace naturel Gerbier-Mézenc comme membre associé. Cela signifie que nos paysages emblématiques pourront entrer dans ce réseau de sites prestigieux et obtenir la consécration : le label. Mais pour ce faire, il faudra patienter quelques années car c’est une démarche de longue haleine.
Le territoire du Gerbier-Mézenc, à cheval entre Haute-Loire et Ardèche, a pour particularité son paysage volcanique atypique traversé par la ligne de partage des eaux, un habitat d’altitude, avec une architecture caractéristique faite de toits de lauzes, de chaume ou de genêts, et des herbages particuliers qui permettent l’élevage du bœuf Fin Gras.
Ces caractéristiques, ajoutées aux politiques de préservation déjà appliquées sur les deux sites du Mont Gerbier et du Mont Mézenc, sont le socle sur lequel les départements de l’Ardèche et de la Haute-Loire se sont appuyés pour déposer une demande de labellisation Grand site de France.
À ce jour, les deux départements ont fourni les argumentaires qui sont susceptibles de valider la première étape de la démarche.

Site naturel classé

Un Grand site de France est un site naturel classé de grande notoriété et de très forte fréquentation auquel a été attribué par l’État le label Grand site de France.

« Au préalable, le site doit satisfaire plusieurs conditions dont la principale est celle d’un classement du site au titre de la loi de 1930. Un site classé est considéré comme un “monument historique de la nature”. Toute modification le concernant nécessite l’autorisation d’inspecteurs des sites ».

Lydiane Estève (chargée de mission au sein du Réseau Grands sites de France)

C’est alors que le site peut prétendre au titre de Grand site qui lui permettra de décrocher le label. Ce projet de labellisation s’accompagne de la rédaction d’un dossier qui consiste à mettre en relief les aménagements à prévoir. Une phase d’étude indispensable destinée à évaluer la fréquentation qui peut être importante et à envisager les moyens pour mieux accueillir les visiteurs en préservant au maximum le site.

Des parkings discrets

Au pied du Gerbier, il s’agit par exemple du démontage d’un téléski à Sainte-Eulalie. On sait également que l’aménagement de parkings discrets qui ne dénaturent pas le site fait partie des conditions indispensables pour obtenir ce label si convoité. Bref, il faudra attendre quelques années encore avant la consécration sans oublier qu’il faut aussi obtenir l’avis de la commission supérieure des sites, perspectives et paysages et du ministère de l’écologie.
Une procédure longue : le jeu en vaut pourtant la chandelle. Le label est la reconnaissance d’une gestion conforme aux principes du développement durable, conciliant préservation du paysage et de « l’esprit des lieux », qualité de l’accueil du public, participation des habitants et des partenaires à la vie du Grand Site. Ce label est attribué pour une durée de 6 ans, ce qui signifie que les conditions requises sont sans cesse remises en cause et que le label peut être perdu.

 

Jérôme Bay


L’Éveil du 05-03-2019 :

 

Crédit photo : Dan Vincent

Réunir les deux sucs semble évident sur le papier. Reste à le faire sur le terrain. Un premier rapprochement a eu lieu ce lundi matin, incarné par une visioconférence entre les Présidents de la Haute-Loire et de l’Ardèche.

Des Iles sanguinaires de la Corse du Sud aux caps Blanc-Nez et gris-Nez dans le Pas-de-Calais, en passant par la Sainte-Victoire (Bouches-du-Rhône) ou le Pont du Gard, pas moins de 18 sites sont déjà labellisés, pour un total estimé à 33 millions de visiteurs environ.
Ce label “Grand Site de France”, inscrit dans la loi, appartient à l’État, qui l’a déposé à l’Institut national de la propriété industrielle en 2003. Il est géré par le Ministère en charge de l’Écologie. Sélectif et exigeant, il est la reconnaissance d’une gestion conforme aux principes du développement durable, conciliant préservation du paysage et de “l’esprit des lieux”, qualité de l’accueil du public, participation des habitants et des partenaires à la vie du Grand Site.

Le Mézenc fait l’objet d’un certain nombre de protections environnementales et paysagères (Espace Naturel Sensible, Natura 2000, Site classé, Réseau Départemetal Biodiversité…) mais également de projets de développement économique et touristique.

Seulement huit kilomètres entre les deux sites montagneux aux nombreuses caractéristiques communes

L’Ardèche et la Haute-Loire partagent une histoire et une géographie commune symbolisées par deux sucs : le Mont Mézenc et le Mont Gerbier de Jonc. Le premier s’étend sur plus de 4 000 hectares et sept communes entre Ardèche et Haute-Loire. Il est à vol d’oiseau à huit kilomètres seulement du Mont Gerbier de Jonc, qui s’étend sur 45 hectares et deux communes. C’est ce périmètre qui est concerné par le potentiel label.
Plusieurs spécificités caractérisent ces deux sites montagneux et forgent l’identité des deux départements, avec un paysage volcanique atypique, un fil rouge, la Loire, mais aussi une montagne aux herbages particuliers permettant l’élevage du Fin Gras du Mézenc ou encore une architecture caractéristique, faite de toits de lauzes, de chaume ou de genêts.

Déjà plusieurs millions d’euros investis ces dernières années

Qu’est-ce que cette labellisation “Grand site” pourrait apporter aux territoires concernés ? “Ça nous ouvrirait bien des portes à tout niveau“, juge Jean-Pierre Marcon, le Président du Département, “ce serait très important pour la communication et le développement économique, ce serait la porte ouverte à toutes les promotions“, ajoute celui qui se déclare le sourire en coin un parfait symbole de cette alliance, puisque “conçu en Ardèche et né en Haute-Loire“.
Il faut dire que des investissements, parfois même très lourds, ont été réalisés par les deux conseils départementaux ces dernières années. Côté Haute-Loire, rien que sur la station et le village des Estables, l’enveloppe consacrée est de l’ordre de plusieurs millions d’euros.

Nous avons fait d’importants investissements sur le tourismeplace maintenant aux retours économiques

Différentes stations ont été équipées, en ski alpin comme en ski de fond“, nous détaille le Président Marcon, “notamment Freycenet-la-Cuche ou à Saint-Front, avec par exemple des remontées mécaniques et il y a aussi l’aménagement du village des Estables, avec notamment la construction du village de vacances, qui est la propriété départementale et qui propose 400 lits“.
Côté Ardèche, le Département a engagé depuis plusieurs années des acquisitions foncières et d’importants travaux de requalification du site du Mont Gerbier de Jonc, représentant plus de trois millions d’euros d’investissements. “Nous avons fait d’importants investissements sur le tourisme“, reconnaît Laurent Ughetto, Président de l’Ardèche, “place maintenant aux retours économiques“. Il faut bien sûr ne pas oublier les investissements privés pour clore l’adition.

Une labellisation centrée sur le tourisme et la démographie ?

Outre l’intérêt touristique manifeste, quels sont les autres visées de cette labellisation? Elle pourrait avoir des incidences sur différents pans de la société comme l’agriculture, l’économie, la démographie ?

“Une contrainte qui va devenir inévitablement une grande chance pour le département”

Les investissements escomptés auront donc principalement pour but d’activer le levier touristique, mais aussi de maintenir la démographie sur un territoire parfois déserté, en conservant une activité économique, et donc un service public. Enfin le troisième pilier est l’aspect environnemental, que l’on peut “décliner à l’infini“, estime le chef de file de l’exécutif départemental.
Sans que ça ne représente trop de contraintes ? “Si, il y en aura toujours un peu“, nous répond le Président du Département, “mais c’est une contrainte qui va devenir inévitablement une grande chance pour le département par rapport au reste du territoire national, qui ne peut pas offrir autant de richesses paysagères que nous pouvons en offrir“.

De nombreuses interconnexions : du fin Gras au ski de fond, en passant par la Loire et le vélo

La belle aventure du Fin Gras a permis d’accroître les interconnexions entre nos territoires“, souligne Marie Agnès Petit, vice-présidente du Département en charge du tourisme, “avec un beau travail sur cette viande reconnue bien au-delà de nos frontières régionales, et même nationales“. Il a tout de même fallu 10 ans de démarches pour obtenir l’AOP mais aujourd’hui, le succès est au rendez-vous avec 1 200 bovins commercialisés en AOP en 2018 et une distribution aux quatre coins de l’hexagone.
L’interconnexion entre les pistes de ski de fond existe déjà et l’idée serait de continuer à développer ce partenariat autour de la Loire, avec par exemple des parcours à vélo ou le GR3. Autre exemple de cette collaboration : l’association des élus du Mézenc, d’Ardèche et de Haute-Loire. “On l’a créée dans les années 2000“, se remémore Philippe Delabre, maire de Saint-Front et Président de la communauté de communes Mézenc-Loire-Meygal. Des cartes touristiques communes existent également depuis plusieurs années. “Nous sommes aujourd’hui issus d’une même Région, il n’y a plus de barrières administratives, que les citoyens et les touristes ne connaissaient pas. Il est temps de réunir les deux massifs“.

“On ouvre aujourd’hui un livre dont on va écrire la première page demain”

Reste que si la visioconférence de ce lundi matin marquait un premier pas, le chemin s’annonce encore bien long et parsemé d’embûches. “C’est aujourd’hui le baptême de notre entente“, lance Jean-Pierre Marcon. Il va maintenant falloir bâtir ce dossier et il faudra compter bien cinq années environ avant la potentielle obtention du label. Ce dernier, bien loin des enjeux du label Unesco, n’apporte pas de fonds supplémentaires de l’État ou de l’Europe.
Ce n’est pas qu’une question d’argent mais de volonté“, conclut Jean-Pierre Marcon, “l’enjeu c’est de vraiement vendre ce projet là qui a besoin d’être vendu car il est très atypique par rapport aux différents sites que l’on retrouve dans ce label au niveau national“.

Maxime Pitavy


Dauphiné Libéré du 05-03-2019 :

HAUTE LOIRE  : Le Gerbier et le Mézenc bientôt réunis sous le label Grand site ?

Le Gerbier-de-Jonc culmine à 1551 mètres. La Loire prend sa source à ses pieds. Il est à cheval entre l’Ardèche et la Haute-Loire ce qui nécessite un travail commun des deux départements.

 

Traits d’union entre l’Ardèche et la Haute-Loire, le mont Mézenc et le Gerbier de Jonc seront candidats pour obtenir ensemble le label Grand site de France. C’est la volonté des deux Départements qui coopèrent pour mener à bien l’opération.

Ils veulent travailler ensemble et obtenir une labellisation Grand site de France. Les Départements de l’Ardèche et de la Haute-Loire veulent mettre davantage en valeur le Mézenc et le Gerbier de Jonc. Ces monts emblématiques du plateau sont autant ardéchois qu’altiligériens. Ils sont protégés, de part et d’autre des frontières administratives, par des politiques autour des espaces naturels sensibles. Pour autant, Laurent Ughetto (PS), le président du conseil départemental de l’Ardèche, et Jean-Pierre Marcon (UDI), son homologue de Haute-Loire, veulent aller plus loin.

Réunir les deux sites semble une évidence

Une première visioconférence a réuni, ce lundi 4 mars, les deux hommes pour discuter d’une candidature à la labellisation. Cohérence en termes de paysage, de géologie, de biodiversité, d’histoire et d’activités économiques… Réunir les deux sites semble une évidence sur le papier comme sur le terrain. Plusieurs spécificités caractérisent déjà le futur Grand site. Le paysage est volcanique, l’architecture est très particulière avec des toits faits en lauzes, en chaume ou en genêts, les herbages du territoire permettent l’élevage du bœuf fin gras…


Site La Commère 43  du 05-03-2019 :

Le Mont Mézenc et le Gerbier de Jonc vers un label commun ?

Photo David Frobert/ OTI Mézenc-Meygal

L’Ardèche et la Haute-Loire partagent une histoire et une géographie communes, naturellement concrétisées par deux sucs : le Mont Mézenc et le Mont Gerbier de Jonc. Protégé de chaque côté de la frontière administrative par les politiques publiques autour des espaces naturels sensibles (ENS), ce territoire fait l’objet d’un rapprochement entre les deux conseils départementaux.

Le Mont Gerbier de Jonc constitue le deuxième site touristique le plus fréquenté d’Ardèche, après les Gorges de l’Ardèche. Il forme avec le Mont Mézenc l’un des espaces naturels sensibles (ENS) majeurs du département.

Classé en 1933, le site du Mont Gerbier de Jonc s’étend sur 45 hectares et deux communes : Sainte-Eulalie et Saint-Martial.

Il se trouve à moins de 8 kilomètres à vol d’oiseau d’un autre site majeur : le Mont Mézenc. Classé en 1997 pour ses qualités paysagères, le site du Mont Mézenc s’étend sur plus de 4 000 hectares et sept communes entre Ardèche et Haute-Loire.

Ardèche et Haute-Loire se retrouvent sur les richesses de ces deux sites, à travers des politiques propres à chaque Département

Cohérence en termes de paysage, de géologie, de biodiversité, mais également en terme d’histoire et d’activités économiques… réunir les deux sites semble évident sur le papier et sur le terrain. Jusqu’ici, la frontière administrative a amené chaque conseil départemental à développer des politiques de protection différentes mais finalement similaires.

Fort de l’expérience des Gorges de l’Ardèche avec l’opération Grand Site, le Département de l’Ardèche souhaite réitérer l’expérience sur le site Gerbier Mézenc, ayant par ailleurs engagé depuis plusieurs années des acquisitions foncières et d’importants travaux de requalification du site du Mont Gerbier de Jonc, représentant plus de 3 M € d’investissements.

Cette labellisation ne pourra se faire sans les acteurs territoriaux : les deux Communautés de communes Mezenc Loire Meygal, Montagne d’Ardèche et ValEyrieux, le Syndicat mixte de la Montagne Ardéchoise et le Parc Naturel Régional des Monts d’Ardèche.

A l’initiative des deux Départements, ces acteurs territoriaux ainsi que les services de l’Etat et les principaux acteurs associatifs et économiques devraient se réunir le 24 mai à la ferme de Bourlatier, afin d’échanger et de débattre à la fois sur le label Grand Site et sur tout ce qui construit l’esprit des lieux de ce territoire unique.